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Qui est qui ici ?

Humeur du 2 mai 2011

Je vais faire bref.

Le nucléaire "civil" - j'entends par là la production d'énergie électrique dans des centrales nucléaires, non l'utilisation de radio-éléments à des fins médicales - doit à mon sens être éradiqué de la planète, sans quoi c'est lui qui risque de nous éradiquer. C'est juste une question de temps.

Par ailleurs, ses promoteurs sont ramifiés en de puissants réseaux, aux agissements trop exempts d'une quelconque mesure - pour ne pas dire probité - en particulier en matière de communication.

Le nucléaire "civil" doit être combattu.

Ce site personnel est ma contribution à ce combat. Sa modestie ne me décourage pas, tant il est vrai que l'union fait la force.

Bien entendu, la route sera longue pour sortir du nucléaire "civil" intégralement. Démanteler toutes les centrales, les remplaçant par d'autres sources d'énergie prendra des décennies. Dépolluer, si tant est que cela soit possible, tous les sites contaminés: des décennies encore, voire des siècles. Traiter les déchets déjà produits: qui sait combien de temps ?

Encore faudrait-il que ce changement de cap soit envisagé ...

Ce site n'est pas embarrassé. Il vise, à son échelle, à l'efficacité, ne s'interdisant aucune bassesse employée par la partie adverse.

Il n'est plus temps.

Humeur du 4 mai 2011

Je vais faire bref.

Ce site ne prévoit pas de système de commentaires. Un e-mail de contact est à disposition, voilà tout.

C'est volontaire.

Humeur du 8 mai 2011

L'utilisation en France de la production nucléaire "civile" d'énergie électrique est avant tout un choix politique.

Il ne s'agit pas ici - et maintenant - de juger du bien-fondé de ce choix d'alors, mais de partir du constat que ce choix politique fort "engageant", j'emploie le mot à dessein, s'est abstenu de tout débat démocratique réel préalable. Certes, nous aurions beau jeu peut-être de juger après coup ce choix, sans tenir compte des connaissances d'alors, des mentalités d'alors, en particulier en matière de risques et de sécurité.

Nous n'allons pas refaire le passé.

Mais force est de constater que le débat ne s'est jamais ouvert depuis.

Pire: force est de constater aussi que l'information et la communication autour de ce sujet pose question.

...

Au point de se demander si, en dehors de l'apparence de leurs acteurs, ce secteur de la société est bien "civil".

...

Si l'on comprend aisément que certaines informations restent confidentielles, ayant trait à la sécurité des sites en fonctionnement par exemple, cela n'explique ni ne justifie pourquoi la continuation de cette politique d'extension permanente n'est pas ouverte au débat, ni pourquoi l'omission et la désinformation gangrènent l'ouverture de ce débat jusqu'à sa remettre en cause sa propre nécessité.

Ni pourquoi en France, nous en arrivons même à pénaliser les alternatives ? Ou à discréditer ceux de nos voisins qui ont fait un choix différent.

Humeur du 10 mai 2011

Quand la censure, humaine ou technique, est rendue impossible, ou risquée, alors l'omission et la désinformation prennent le relais.

Atténuer le signal réel, créer autour un signal parasite.

Nulle faille ne doit demeurer, occupation de tous les terrains.

Les territoires et mesures: sous contrôle. Les médias: sous pression.

Ne pas négliger internet, le puissant internet, l'angoissant internet.

Les îlots du web ...

Ces sites, ces blogs, ces pages, ces images, ces vidéos, tous ces documents. Tous ces gens.

Quel péril !

Objectif: désinformer, taire, créer du bruit.

Objectif corollaire: lasser, dégoûter, faire fuir. Démobiliser. Désunir.

Humeur du 21 mai 2011

Le contre-exemple et le raisonnement par l'absurde sont deux modes de communication argumentée puissants et à ne pas négliger.

Les images ne sont pas inadaptées à leur utilisation.

Humeur du 18 mai 2012

Les déchêts radio-actifs du nucléaire civil, dêchets de matières dangereuses et non-valorisables pour des durées allant de la centaine à plusieurs milliards d'années, sont de fait soit éparpillés, soit regroupés.

Faut-il appeler "stockage" un abandon non avoué ?

Faudra-t-il rebaptiser toutes les "décharges" en "dépots" ? Les poubelles en frigos ?

Humeur du 2 novembre 2013

La prétendue "indépendance énergétique" de la France, qui serait assurée grâce à son nucléaire civil, est une vaste supercherie dont les ressorts mensongers sont connus depuis longtemps.

En particulier, celle-ci présuppose une main-mise sur les matières premières, et par ricochet, une main-mise sur les territoires d'extraction. Et sur leurs populations.

Faisant d'une pierre deux coups, les organisateurs de cette mythification dissimulent une partie du coût financier réel de leur production.

Que penser par exemple de la non-prise en compte des frais militaires liés à la protection des installations d'Areva en Afrique dans le calcul du prix d'un kWh d'origine nucléaire ?